La belle épopée du PSG en Ligue des Champions a laissé des traces… et pas seulement chez ses adversaires. Bradley Barcola, lui, a été immédiatement ciblé par les plus grands clubs européens. Et l’ailier parisien n’a pas fait que regarder : il a écouté avec attention.
Car oui, l’arrivée de Kvaratskhelia cet été a rebattu les cartes. Officiellement, tout va bien dans le vestiaire. Officieusement, Barcola a glissé d’un cran dans la hiérarchie… et ça n’a pas été sans conséquence.
Comme l’a lâché Fabrice Hawkins dans Aliotalk : « Barcola, il y a eu des envies de départ. Il y a eu le Bayern, Liverpool ». Rien que ça. Deux géants prêts à bondir. Et Barcola a bel et bien réfléchi. Changer de pays, découvrir un autre style de jeu, briller ailleurs… la tentation était réelle.
Luis Enrique dans le viseur
Mais ce possible départ n’était pas lié qu’à la concurrence. Là encore, Fabrice Hawkins lève le voile : Barcola « n’était pas forcément content de ce qui s’est passé la saison dernière notamment pour son temps de jeu sur les matchs importants ».
Ambitions XXL, minutes en dents de scie, gros matchs sur le banc : le cocktail parfait pour créer du malaise. Le Français a parfois eu l’impression de ne pas être un vrai choix du coach lors des affiches cruciales. Et dans un club comme Paris, ça pique.
Finalement… il reste. Et il a eu raison
Le vent a tourné. Les blessures se sont accumulées en attaque, et voilà Barcola redevenu un élément indispensable du début de saison. Ironie du sort : sans bouger, il a retrouvé une place de choix.
Reste une question : quel sera son rôle en fin de saison si le PSG enchaîne encore un parcours européen XXL ?
En attendant, le feuilleton du départ est rangé au placard. Mieux encore : Barcola va prolonger. Le PSG et son entourage s’apprêtent à lancer les discussions pour une extension de contrat. Une prolongation de deux ans est sur la table, jusqu’au 30 juin 2030.
Barcola a pensé à partir… mais c’est finalement Paris qui devrait l’attacher encore un peu plus longtemps. Le mercato n’a qu’à bien se tenir.
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