C’est officiel : le Paris Saint-Germain a enclenché la machine pour son futur stade. Ce mardi, le club a organisé à Poissy le premier comité de pilotage local autour du projet, en présence des élus, représentants de l’État, acteurs fonciers et maîtres d’ouvrage. Objectif : poser les bases et lancer les études de préfaisabilité.
Le projet de nouveau stade est lancé au PSG. Et rien ne semble plus pouvoir l’arrêter. Le club va donc bien quitter le Parc des Princes. Reste à savoir pour s’installer où…
Un second comité se tiend ce jeudi à Massy, l’autre site encore en lice. Le PSG avance donc sur deux fronts, avant de trancher sur l’implantation définitive de son futur écrin. Un choix stratégique et hautement symbolique, qui engagera le club comme le territoire retenu.
Au menu des discussions : mobilité, accès, intégration urbaine, impact social et économique. Le club veut faire de ce projet une réussite collective, en s’assurant que le futur stade ne soit pas seulement une enceinte sportive, mais aussi un catalyseur pour le territoire qui l’accueillera.
Le PSG quitte le Parc… dans 10 ans
« Le lancement de ce premier Comité de pilotage illustre la volonté du Club d’avancer de manière transparente et collective avec l’ensemble des parties prenantes. Je me réjouis que tous les acteurs aient répondu présents à l’invitation du Paris Saint-Germain : élus et représentants de l’État, à chaque échelle territoriale — régionale, départementale, intercommunale et communale. Leur mobilisation témoigne de l’intérêt porté à ce projet, qui ne pourra être conçu et aboutir qu’avec eux. Notre ambition est claire : bâtir un stade pleinement intégré à son territoire », a dit Victoriano Melero, Directeur général du Paris Saint-Germain.
Le PSG présidera régulièrement ces comités pour avancer étape par étape. Le message est clair : l’ère du nouveau stade parisien est bel et bien lancée, avec l’ambition d’offrir aux supporters et au club un écrin digne de ses ambitions européennes. Et adieu le Parc… Mais pas tout de suite. Les projections les plus optimistes évoquent 10 ans de projet de travaux.
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