Petite note salée pour le PSG… La cour d’appel de Paris a tranché : le club devra verser 250 000 euros à Gianluigi Buffon, son ancien gardien, pour couvrir une partie de son redressement fiscal italien de 2018.
Buffon, qui n’a passé qu’une saison à Paris (2018-2019), s’est vu notifier un redressement fiscal de 1,2 million d’euros par l’administration italienne, concernant ses revenus de l’année 2018. Une année à cheval entre la Juventus et le PSG.
La clause maline de Buffon
Dans son contrat parisien figurait une clause assez précise : en cas de redressement par le fisc italien avant fin 2023, le PSG s’engageait à prendre en charge jusqu’à 250 000 €, comme prime d’impatriation. C’est exactement ce que la justice a confirmé.
Le club avait d’abord été condamné par les prud’hommes, avant de faire appel… en vain. Buffon, en revanche, n’a pas obtenu les 25 000 € de dommages et intérêts qu’il réclamait pour la « résistance abusive » du club.
Le PSG devra donc régler l’addition. Buffon, lui, peut souffler (un peu) — et se souvenir qu’un bon contrat, ça fait la différence… même des années plus tard.
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