Le petit couac entre Mauricio Pochettino et Lionel Messi lors de PSG-Lyon a beaucoup fait parler. Mais au PSG, ce sera déjà de l’histoire ancienne.
Le regard plein d’incompréhension de Lionel Messi, sorti lors de PSG-Lyon dimanche, a fait le tour du monde. De là à imaginer un clash en interne avec Mauricio Pochettino ? Pas du tout.
Lionel Messi est arrivé légèrement blessé au Camp des Loges lundi, ressentant une douleur au dessus de genou. Raison pour laquelle le staff a préféré le sortir. Lors du match, Pochettino « lui a demandé à de nombreuses reprises s’il était blessé. L’Argentin a fait signe que tout allait bien et qu’il pouvait continuer », indique Le Parisien.
De plus, selon L’Equipe, Pochettino et Messi ont discuté de cet épisode lundi. Et selon Le Parisien, « il n’y aurait aucune tension entre les deux hommes bien qu’il y ait eu de l’incompréhension sur le moment, une différence de ressenti. »
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« Je ne suis pas vraiment surpris »
Des infos confirmées par Mauricio Pochettino lui-même lors de la conférence de prese de mardi. « Je crois que le club a publié un communiqué sur Leo, la situation est claire », a-t-il dit. « Pour vous expliquer un peu, nous, sur le banc, nous voyons tout ce qui se passe sur le terrain. Nous avons vu que Leo avait testé son genou, qu’il essayait de voir comment il réagissait. On l’a vu se toucher le genou après une frappe aussi. Nous étions contents de son match, avec une très bonne première période notamment, il ne manquait que le but. Après 75 minutes de jeu, avec les informations que nous avions en interne et ce que nous avons vu, nous avons pris la décision de le remplacer. C’est la situation ».
« Je comprends la situation, je l’accepte. Je ne suis pas vraiment surpris. La priorité est toujours le bien du joueur, avec les informations que nous avions, nous avons pensé que le mieux pour lui était de sortir après 75 minutes de jeu. Logiquement, un grand champion veut toujours être sur le terrain et Leo est un grand champion. C’est compréhensible. Je ne suis pas surpris. Ce genre de choses est normal », a-t-il conclu.
