À Rennes, c’est la panique totale. Battu 1-2 par Nice dimanche, Habib Beye a enchaîné un cinquième match sans victoire. Déjà sur la sellette depuis des semaines, le coach du Stade Rennais, sous contrat jusqu’en 2026, aurait même appris son licenciement ce lundi selon Foot Mercato. Ambiance.
Les dirigeants bretons ne perdent pas de temps : ils auraient déjà activé la chasse au successeur. Le nom de Philippe Clement circule avec insistance. Pendant ce temps, Rennes végète à une triste 10e place avec 11 points en 9 journées. Pas vraiment le plan de départ.
Mais retournement de situation : Beye sera bien sur le banc face à Toulouse !
Alors que tout le monde l’annonçait viré, L’Équipe assure que l’ancien coach du Red Star est maintenu. Match à Toulouse mercredi : ce sera “la dernière chance”. Comprenez : il doit gagner, sinon rideau.
Les dirigeants ont longuement hésité avant de trancher en faveur d’un sursis. Cinq matchs sans victoire, la pression est maximale. Beye joue sa peau.
Et ce n’est pas tout : Beye pensait vraiment être viré
Foot Mercato révèle que le coach s’était déjà fait à l’idée de plier bagage. Convoqué par le président Arnaud Pouille lundi après-midi, il aurait compris que l’histoire était finie. Lui et son staff auraient même commencé à vider leurs casiers. Avant d’apprendre, en pleine réunion, qu’ils restaient… pour le moment.
Pourquoi ce sursis de dernière minute ? Simple : Rennes n’a, pour l’instant, aucun plan B crédible. Le maintien de Beye ressemble donc plus à un choix faute de mieux qu’à une vraie marque de confiance.
Mercredi à Toulouse, c’est sa finale. Une défaite, et cette fois, le casier ne restera pas vide longtemps.
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