Barça/PSG: le prince Mendes a éteint le roi Yamal !

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Nuno Mendes ©PSG

Barça vs PSG : Nuno Mendes a mis le couvercle sur Lamine Yamal. Le joueur portugais a complètement muselé l’Espagnol.

C’était un duel très attendu. Lamine Yamal devait être la star de la soirée, il a fini dans la poche de Nuno Mendes. Lamine Yamal avait promis la revanche et l’enfer au PSG, mais le crack du Barça a vite compris qu’en face, le Portugais n’était pas venu pour admirer ses roulettes.

Solide derrière, explosif devant, Mendes a tout fait : verrouiller son couloir, calmer le joyau catalan et, cerise sur le gâteau, offrir la passe décisive à Mayulu pour l’égalisation.

Montjuïc attendait le feu d’artifice de Yamal, c’est Mendes qui a sorti les fusées. Intenable, il a transformé le duel annoncé en leçon grandeur nature : vitesse, puissance, agressivité, tout y est passé. À la fin, le Barcelonais était frustré, et le PSG, décimé mais conquérant, a pu signer une victoire (1-2) qui fera date.

Yamal repart bredouille, Mendes taille champion

Nuno Mendes a démontré toute la confiance du PSG en interviex après la rencontre: «C’était un bon match, serré. On croit toujours en nous, même avec les joueurs blessés. Ceux qui ont joué aujourd’hui ont été tops. Senny (Mayulu), le jeune Quentin (Ndjantou Mbitcha) qui est entré. Ils sont là pour nous aider et faire ce qu’on a à faire: jouer au foot. On a montré notre travail. Même avec les blessures, on était au top», a-t-il assuré, sur Canal+.

Le PSG a fait honneur à son titre de champion d’Europe : «On peut dire oui. Ça va être plus compliqué cette année, car tout le monde veut jouer contre nous. On joue toujours pour gagner et aujourd’hui c’était un bon exemple », a lâche Nuno Mendes après le match.

Annoncé comme la victime idéale du nouveau prince du Camp Nou, Mendes s’est mué en bourreau discret mais terriblement efficace. Résultat : Yamal repart bredouille, et Paris, encore une fois, avec les trois points. Moralité : mieux vaut promettre moins fort… quand Nuno Mendes traîne dans les parages.

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