À New York, Xavi Hernández n’a pas mâché ses mots sur Lamine Yamal. L’ancien coach du Barça, qui l’avait lancé à seulement 15 ans, en est persuadé : « Dès le premier jour, nous avons dit que Lamine était taillé pour le Ballon d’Or ».
Ousmane Dembélé Ballon d’Or… ok, mais non. Il était pour Lamine Yamal, selon l’ancien coach du Barça. « Cette fois, les titres collectifs ont pesé davantage. Pour moi, bien sûr qu’il le méritait. Vitinha aussi, Salah, Pedri, Raphinha… beaucoup le méritaient, mais au final, ce sont les trophées qui font la différence », a-t-il dit à Marca.
Pour Xavi, la pépite espagnole est tout simplement destinée à marquer une époque : « Il n’a aucun complexe, aucune peur. Pour moi, il fait partie des élus et peut marquer une ère dans le football mondial. »
« Lamine le gagnera, j’en suis convaincu »
Le trophée n’est pas encore dans son armoire, mais ce n’est qu’une question de temps : « Lamine le gagnera, j’en suis convaincu, mais quand son équipe remportera la Ligue des champions ou un Mondial. »
Un discours qui fait écho à un autre talent brut : Ousmane Dembélé. Deux profils différents, mais une même étiquette : celle de joueurs capables de faire basculer une rencontre sur une accélération, un dribble, une inspiration. Mais là où Dembélé peine encore à trouver la constance attendue au PSG, Yamal, lui, n’a que 18 ans et semble déjà prêt à assumer un destin de Ballon d’Or.
Le contraste est saisissant : Dembélé reste une énigme, Yamal apparaît comme la version accomplie de ce que le Français aurait pu devenir… et que l’Espagne rêve désormais de voir éclore.
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