À peine la claque reçue contre Bologne (0-2) digérée, Antonio Conte a filé direction Turin pour un mini-break en famille. Trois jours de repos validés depuis longtemps par le club… mais qui tombent très mal.
Antonio Conte s’offre trois jours de « vacances »… et Naples s’enflamme. Entre sa colère explosive dans le vestiaire et les rumeurs de démission, ce départ express a mis le feu aux réseaux et aux supporters.
Le président Aurelio De Laurentiis a même dû sortir du silence pour désamorcer la bombe : Conte ne démissionne pas. Ambiance. Le coach italien doit revenir le 17 novembre.
Et en attendant, c’est Cristian Stellini, le coach adjoint, qui tient la boutique à Castel Volturno. Pendant que l’entraîneur napolitain tente de “décompresser”, Naples campe à une décevante 4e place et traverse une période inquiétante.
Naples, un calendrier infernal
Mais les vacances express ne dureront pas. Dès son retour, Conte va retrouver un calendrier infernal : Atalanta, Roma, Juventus, Qarabag, Benfica, Cagliari… Rien que ça. Repos écourté ou pas, il va devoir rallumer une équipe en perte totale de confiance. À Naples, les polémiques n’ont pas pris de congés.
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