Newcastle a été clair : Alexander Isak n’est pas à vendre. Malgré l’intérêt pressant de Liverpool, prêt à mettre 138 M€ (120 M£) sur la table, les Magpies ont fermé la porte à double tour. Yasir Al-Rumayyan, président du club, a réaffirmé son soutien à Eddie Howe, convaincu qu’Isak est au cœur du projet.
Mais en interne, le ton monte du côté du clan Isak. L’attaquant suédois, auteur de 27 buts la saison dernière, réclame une revalorisation salariale à hauteur de 17 M€ nets/an. Une promesse, selon lui, faite il y a un an… mais jamais tenue.
L’ex-directeur sportif Paul Mitchell, aujourd’hui parti, avait freiné les discussions en estimant qu’Isak était déjà « très bien payé ».
Tension dans les coulisses
Pendant que Newcastle résiste à l’attaque de Liverpool, le malaise grandit. Aucune prolongation n’a été signée, et Isak n’écarte pas un départ à moyen terme s’il n’obtient pas gain de cause. Liverpool a abandonné et a foncé sur Hugo Ekitike.
Actuellement en stage en Autriche, Isak affiche une attitude professionnelle, mais en coulisses, la pression monte. Newcastle pourrait devoir réagir vite pour calmer le jeu… ou risquer une fracture.
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