Le PSG de Luis Enrique, c’est une révolution tactique. Fini les buteurs “purs et durs”, place à la fluidité totale. Pressing constant, possession étouffante, permutation à gogo… le coach espagnol a imposé sa patte.
Luis Enrique veut former ses stars. Pas besoin d’aller en chercher ailleurs a prix d’or. Et sûrement pas Erling Haaland. Et une chose est claire : il ne veut pas d’un numéro 9 à la Haaland.
Un agent de joueur a confié à L’Équipe : « Il ne veut pas d’un 9 à la Haaland où, même s’il est très fort, l’adversaire sait à quoi s’attendre. Avec les décrochages et les permutations, le Bayer ne savait plus comment défendre. »
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Luis Enrique a bouleversé les codes, et ça marche. Son arme secrète ? Des attaquants interchangeables, capables de désorganiser n’importe quelle défense.
Dembélé, le faux 9 nouvelle génération… ou Mayulu
Dans ce système sans avant-centre fixe, Ousmane Dembélé s’éclate. Libre, imprévisible, il incarne parfaitement la vision de son entraîneur. Ou Senny Mayulu…
Et Luis Enrique assume à 100 % : « Nous avons beaucoup de joueurs qui peuvent jouer à ce poste : Ramos, Dembélé, Doué, Mayulu, Barcola, Lee… Même les latéraux peuvent s’y retrouver selon les situations. »
En clair, pas besoin d’un cyborg comme Haaland pour briller : le PSG version Enrique mise sur la mobilité, la créativité… et un collectif imprévisible. Ceux qui n’arrivent pas à suivre le tempo risquent de vite disparaître du plan de jeu.
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