Les Bleus tiennent-ils vraiment leur nouvelle star avec Michael Olise ? La réponse est oui… et non. Car le joueur du Bayern n’aime pas trop la lumière.
Les temps changent en équipe de France. Avec les départs annoncés de Giroud et Griezmann, la FFF est en quête de nouvelles têtes d’affiche. Mbappé reste le leader incontestable, Dembélé est désormais Ballon d’Or… mais un troisième nom commence à faire fantasmer : Michael Olise.
À première vue, le profil fait rêver : beau gosse, aura mystérieuse, charisme discret, régularité sur le terrain. Bref, l’archétype du joueur qui peut séduire autant sur la pelouse que dans les campagnes marketing. La fédé aimerait en faire son nouvel atout glamour.
Mais voilà, le problème est de taille : Olise n’est pas “français” dans l’imaginaire collectif. Formé et révélé en Angleterre, inconnu du grand public hexagonal, il reste un visage flou pour beaucoup de supporters tricolores. Pire encore : il n’a aucun contrat de sponsoring, il n’a donné qu’une seule vraie interview dans sa carrière, ses réseaux sociaux sont presque vides, et son français reste hésitant, ce qui complique la mise en avant.
Bref, Olise a tout du crack discret, mais pas forcément du produit star dont rêve la FFF pour l’après-Grizou.
Alors, la fédé va-t-elle réussir à transformer ce diamant brut en idole nationale ? Ou faudra-t-il chercher ailleurs le successeur médiatique des Bleus ?
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