Et si l’histoire se répétait ? Dix-huit ans à peine, et Lamine Yamal incarne déjà ce que Lionel Messi représentait à son âge : l’insouciance, le génie, et la sensation qu’un joueur différent vient de bouleverser le jeu. Double champion d’Espagne, champion d’Europe avec la Roja à seulement 16 ans, le crack du Barça est déjà cité parmi les favoris au Ballon d’Or.
Le parallèle avec Messi est troublant. Même centre de formation, même précocité, même numéro mythique sur les épaules. Une photo culte les unit déjà : celle de l’Argentin tenant le petit Yamal dans ses bras, bien avant qu’il ne devienne le joyau de la Masia. Comme si leur destin était scellé depuis longtemps.
Avec Yamal au Barça ?
Aujourd’hui, Messi ne cache plus son admiration. Son fils Thiago, 12 ans, rêve lui aussi de fouler un jour la pelouse avec Yamal. Huit petites années les séparent, assez pour imaginer un futur improbable mais pas impossible. « Je veux jouer pour l’Argentine et un jour je veux jouer avec Lamine Yamal », a ainsi lâché le fils de La Pulga.
Une histoire de filiation symbolique qui renforce encore un peu plus le mythe. En attendant, la réalité offre un premier face-à-face digne d’un conte : la prochaine Finalissima entre l’Espagne et l’Argentine. Messi, la légende, contre Yamal, la relève. Comme un passage de témoin, ou peut-être le début d’une nouvelle ère.
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