Tottenham ferme la porte aux repreneurs malgré le départ de Daniel Levy… son président historique.
C’est la révolution à Tottenham… mais dans la continuité. Trois jours après la démission surprise de Daniel Levy, son président emblématique depuis 24 ans, Le club a tenu à clarifier sa position. Dans un communiqué publié dimanche, le club londonien a confirmé avoir reçu plusieurs « manifestations d’intérêt » pour un rachat total… mais les a toutes rejetées sans équivoque.
Les Spurs ne sont donc « pas à vendre » et resteront dans le giron du groupe ENIC, actionnaire majoritaire avec 85,55 % du capital. Une manière de couper court aux spéculations, alors que la démission de Levy a suscité de nombreuses rumeurs sur un changement d’ère à Londres.
Tottenham, pas à vendre… pour le moment
Malgré son palmarès récent – une victoire en finale de Ligue Europa en mai dernier face à Manchester United (1-0) – Tottenham sort d’une saison décevante en Premier League, conclue à une inquiétante 17e place. Levy, critiqué par une partie des supporters, a donc quitté ses fonctions.
C’est désormais Peter Charrington qui assure la présidence non exécutive du club. Un nouveau chapitre s’ouvre, mais pour l’instant, Tottenham reste fidèle à son actionnaire historique… et ferme la porte aux repreneurs.
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